La vision d'investissement en Bitcoin de Paul Tudor Jones, le maître macroéconomique.
Dans le marché financier actuel, le risque provient souvent d'un jugement collectif erroné sur la "sécurité". Comme le dit Paul Tudor Jones, "toutes les routes mènent à l'inflation". Pour lui, le Bitcoin n'est plus le modèle idéal de la monnaie future, mais plutôt une réaction instinctive des marchés de capitaux mondiaux à "fuir le système de crédit", une tentative des investisseurs de trouver de nouveaux outils de refuge après l'effondrement de la foi dans les obligations souveraines.
Todd Jones n'est pas un fervent des cryptomonnaies. Il examine le Bitcoin à travers le prisme d'un gestionnaire de fonds spéculatifs macro, le considérant comme une évolution d'une classe d'actifs, une réaction de stress du capital face à la dégradation de la crédibilité des monnaies fiduciaires, à l'aggravation de la monétisation de la dette et à l'inefficacité des politiques des banques centrales. La rareté, la non-souveraineté et la transparence du Bitcoin constituent de nouvelles "frontières monétaires".
Son point de vue sur la configuration repose sur un cadre macroéconomique : pièges de la dette, illusions économiques, répression financière et inflationnisme à long terme. Cette entité