Les fusées commerciales peuvent désormais être cotées en bourse, c'est une grande réussite en soi. Mais ce qui est vraiment intéressant ne réside pas dans l'introduction en bourse elle-même, mais dans le fait qu'elle a pour la première fois exprimé sans détour une vérité cruelle — certains projets doivent continuer à brûler de l'argent pendant de nombreuses années avant de pouvoir voir la lumière du succès.
Ces dernières années, qu'ont peur ceux qui travaillent dans le domaine des fusées commerciales ? Honnêtement, leur plus grande crainte n'est pas l'échec. Le véritable cauchemar est : avant même que l'échec ne survienne, le financement se coupe, la voie se bloque. L'argent continue de brûler sans relâche, la technologie progresse petit à petit, cela semble une avancée stable. Mais dans ce processus, le marché des capitaux pose la même question en boucle : quand pourrez-vous gagner de l'argent ? Quand verrez-vous un retour ? Cette pression est parfois plus mortelle que les difficultés techniques. Beaucoup de projets échouent non pas à cause d'une technologie défaillante, mais à cause de l'impossibilité de concilier financement à long terme et responsabilité à court terme. La signification d'une introduction en bourse, dans une certaine mesure, est une forme de compromis — reconnaître la nécessité de brûler de l'argent, tout en offrant aux entrepreneurs la crédibilité pour continuer à avancer.
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TradFiRefugee
· Il y a 8h
En fin de compte, c'est toujours l'anxiété liée au capital, il faut absolument regarder les données du trimestre pour dormir tranquille.
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MissedTheBoat
· 12-26 10:59
En clair, c'est que le marché des capitaux a enfin reconnu une chose : certains rêves ne peuvent vraiment pas prendre feu
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WalletWhisperer
· 12-26 10:58
Ngl, c'est juste la phase d'accumulation qui se déroule en temps réel. La signification statistique ici n'est pas l'IPO elle-même, c'est le marché qui admet enfin que certains modèles nécessitent des années de capitaux patients brûlés avant que les empreintes algorithmiques commencent à montrer des rendements. Indicateur comportemental fascinant, en fait.
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zkProofGremlin
· 12-26 10:51
Honnêtement, c'est vraiment le vrai dilemme du Web3 et du secteur spatial, la myopie du capital est vraiment incroyable.
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Brûler de l'argent pour gagner du temps, cette logique est déjà usée dans le monde des cryptomonnaies, maintenant même les fusées doivent faire pareil.
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Plutôt que de dire que l'introduction en bourse est un compromis, il vaudrait mieux dire que c'est une auto-sauvetage forcé... Les financeurs ne comprennent pas du tout le long terme.
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Le problème, c'est que la pression après l'introduction en bourse ne sera pas moindre, au contraire, il faudra gérer encore plus de râleries de Wall Street.
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C'est pour ça que je n'ai pas beaucoup d'espoir dans la plupart des projets de financement, le capital est synonyme de recherche de gains rapides.
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Même les fusées doivent jouer ainsi, alors les projets Web3 qui prétendent changer le monde sont encore plus risibles.
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Attendez, comment ces projets qui ont obtenu des financements à prix d'or ont-ils survécu, n'ont-ils pas rencontré de rupture de financement ?
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La responsabilité à court terme sur le marché du capital vs le besoin d'innovation à long terme, ce conflit aurait dû être mis en évidence depuis longtemps.
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Donc, en fin de compte, c'est une question de trouver le bon investisseur, le capital patient et le capital à courte vue sont vraiment à des mondes différents.
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Au contraire, l'introduction en bourse offre aux entrepreneurs une opportunité d'échapper au contrôle des VC, personne n'en parle.
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SchrodingersFOMO
· 12-26 10:47
En clair, c'est une relation abusive sur le marché des capitaux, ils ne lâchent prise qu'en voyant le ROI.
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FalseProfitProphet
· 12-26 10:35
C'est vraiment dur, c'est la réalité : perdre de l'argent, c'est plus rapide que de mourir pour la technologie.
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ReverseTradingGuru
· 12-26 10:34
Ce n'est pas la technologie qui pose problème, mais la patience du grand patron financier.
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MevHunter
· 12-26 10:33
Le marché des capitaux, ce vampire, ne veut lâcher prise que lorsqu'il voit un flux de trésorerie, mais certaines choses ne peuvent tout simplement pas attendre aussi longtemps.
Les fusées commerciales peuvent désormais être cotées en bourse, c'est une grande réussite en soi. Mais ce qui est vraiment intéressant ne réside pas dans l'introduction en bourse elle-même, mais dans le fait qu'elle a pour la première fois exprimé sans détour une vérité cruelle — certains projets doivent continuer à brûler de l'argent pendant de nombreuses années avant de pouvoir voir la lumière du succès.
Ces dernières années, qu'ont peur ceux qui travaillent dans le domaine des fusées commerciales ? Honnêtement, leur plus grande crainte n'est pas l'échec. Le véritable cauchemar est : avant même que l'échec ne survienne, le financement se coupe, la voie se bloque. L'argent continue de brûler sans relâche, la technologie progresse petit à petit, cela semble une avancée stable. Mais dans ce processus, le marché des capitaux pose la même question en boucle : quand pourrez-vous gagner de l'argent ? Quand verrez-vous un retour ? Cette pression est parfois plus mortelle que les difficultés techniques. Beaucoup de projets échouent non pas à cause d'une technologie défaillante, mais à cause de l'impossibilité de concilier financement à long terme et responsabilité à court terme. La signification d'une introduction en bourse, dans une certaine mesure, est une forme de compromis — reconnaître la nécessité de brûler de l'argent, tout en offrant aux entrepreneurs la crédibilité pour continuer à avancer.