Récemment, le BTC et l'ETH stagnent tous les deux ? Impossible de monter, impossible de descendre, ils évoluent en range tous les jours. Beaucoup trouvent cela assez frustrant.
En réalité, il y a une logique derrière tout ça — une grande partie des institutions et des gros capitaux ont à peu près le même état d’esprit : ils veulent faire du profit, mais absolument pas subir de grosses pertes.
Quelle est leur stratégie ? Acheter des options de vente (put) protectrices pour assurer leur position. Mais ces assurances coûtent cher, alors ils préfèrent vendre une partie de leur potentiel de hausse (vendre des calls), et utiliser les revenus de la vente de calls pour payer l’assurance. En faisant cela, le risque est effectivement réduit, mais le plafond de gains est aussi abaissé.
Le problème, c’est que ces acheteurs de calls sont principalement des market makers. Ces market makers accumulent une grosse quantité de contrats call, mais comment se couvrent-ils ? C’est simple — Quand le prix monte, ils doivent vendre des coins sur le marché spot ou à terme pour faire pression ; quand le prix baisse, ils doivent acheter pour soutenir. Résultat : le marché reste bloqué : il ne peut pas monter, ni descendre, avec des fluctuations aussi faibles que celles d’un sommeil.
Mais il y a un moment clé — le 26 décembre. La plus grande échéance d’options de l’histoire, avec plus de 27 milliards de dollars, arrive à expiration. La structure de couverture automatique qui ajuste le marché disparaît temporairement.
Et si les gros capitaux ne renouvellent pas immédiatement cette structure d’assurance ? Le marché perdrait cette "corde de sécurité" — dès qu’il bouge, ça secoue violemment. Que ce soit à la hausse ou à la baisse, la volatilité va forcément s’amplifier.
Le marché a déjà commencé à donner un avant-goût : il peut encore rester stable en décembre, mais dès le début de 2026, la volatilité va clairement augmenter. La question suivante : ces gros capitaux vont-ils renouveler cette "stratégie de sauvegarde" après l’échéance ?
S’ils continuent, le range devra encore être maintenu. S’ils ne le font pas, préparez-vous à une montagne russe — la amplitude va forcément augmenter.
En résumé, ce n’est pas que personne ne joue, mais qu’un groupe de gros capitaux craintifs a forcé le marché à rester en place. Peut-on rester stable ? Tout dépend de la façon dont cette "corde de sécurité" va bouger demain.
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MEVEye
· 12-26 10:47
Oh là là, 27 milliards de dollars arrivent à échéance, c'est ça la véritable bombe à retardement
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PumpingCroissant
· 12-26 10:43
Ah, donc c'est maintenant les gros investisseurs qui jouent entre eux ? Pas étonnant que ce soit si ennuyeux.
D'accord, on attend le 26 pour voir le spectacle, sinon on continue à rester à plat ou à décoller.
Ce "plan de survie" des gros fonds est vraiment génial, nous, les petits investisseurs, ne pouvons que subir.
Si le 26 on ne renouvelle pas ? Mon Dieu, ça va être vraiment excitant.
Le marché latéral est vraiment incroyable, on ne peut rien gagner en achetant, et on ne peut pas non plus tout lâcher.
En gros, c'est que les gros ont eu peur, ils ont carrément gelé le marché.
Attendez que la volatilité commence, de toute façon, ça doit exploser tôt ou tard.
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liquiditea_sipper
· 12-26 10:36
Putain, 27 milliards d'options arrivent à expiration, cette fois il faut vraiment voir comment les gros fonds vont renouveler leur couverture, sinon en début 2026 ça pourrait décoller directement ou s'effondrer.
Récemment, le BTC et l'ETH stagnent tous les deux ? Impossible de monter, impossible de descendre, ils évoluent en range tous les jours. Beaucoup trouvent cela assez frustrant.
En réalité, il y a une logique derrière tout ça — une grande partie des institutions et des gros capitaux ont à peu près le même état d’esprit : ils veulent faire du profit, mais absolument pas subir de grosses pertes.
Quelle est leur stratégie ? Acheter des options de vente (put) protectrices pour assurer leur position. Mais ces assurances coûtent cher, alors ils préfèrent vendre une partie de leur potentiel de hausse (vendre des calls), et utiliser les revenus de la vente de calls pour payer l’assurance. En faisant cela, le risque est effectivement réduit, mais le plafond de gains est aussi abaissé.
Le problème, c’est que ces acheteurs de calls sont principalement des market makers. Ces market makers accumulent une grosse quantité de contrats call, mais comment se couvrent-ils ? C’est simple —
Quand le prix monte, ils doivent vendre des coins sur le marché spot ou à terme pour faire pression ; quand le prix baisse, ils doivent acheter pour soutenir. Résultat : le marché reste bloqué : il ne peut pas monter, ni descendre, avec des fluctuations aussi faibles que celles d’un sommeil.
Mais il y a un moment clé — le 26 décembre. La plus grande échéance d’options de l’histoire, avec plus de 27 milliards de dollars, arrive à expiration. La structure de couverture automatique qui ajuste le marché disparaît temporairement.
Et si les gros capitaux ne renouvellent pas immédiatement cette structure d’assurance ? Le marché perdrait cette "corde de sécurité" — dès qu’il bouge, ça secoue violemment. Que ce soit à la hausse ou à la baisse, la volatilité va forcément s’amplifier.
Le marché a déjà commencé à donner un avant-goût : il peut encore rester stable en décembre, mais dès le début de 2026, la volatilité va clairement augmenter. La question suivante : ces gros capitaux vont-ils renouveler cette "stratégie de sauvegarde" après l’échéance ?
S’ils continuent, le range devra encore être maintenu. S’ils ne le font pas, préparez-vous à une montagne russe — la amplitude va forcément augmenter.
En résumé, ce n’est pas que personne ne joue, mais qu’un groupe de gros capitaux craintifs a forcé le marché à rester en place. Peut-on rester stable ? Tout dépend de la façon dont cette "corde de sécurité" va bouger demain.