La scène crypto en Lituanie connaît une transformation majeure. La banque centrale a récemment annoncé une règle stricte : à partir de 2026, tous les prestataires de services cryptographiques opérant localement devront détenir une licence MiCA. La période de transition ne dure que jusqu'à la fin de l'année prochaine, et tout non-détenteur de licence après cette date sera considéré comme illégal, avec une peine maximale pouvant aller jusqu'à 4 ans de prison et de lourdes amendes.
Cette annonce a fait émerger une série de données alarmantes. La Lituanie compte actuellement plus de 370 entreprises enregistrées dans le secteur, mais seulement 30 ont volontairement soumis une demande. Qu’en est-il des autres plus de 300 ? Certaines ont peut-être vraiment abandonné, d’autres restent incertaines. Un nettoyage complet de l’industrie est désormais inévitable.
Que cela signifie-t-il pour les acteurs et les utilisateurs ? Tout d’abord, les petites plateformes de type atelier, sans qualification officielle, seront progressivement éliminées. Pour s’établir sur ce marché, il faut disposer d’une licence légitime. Ensuite, la nouvelle réglementation impose également aux plateformes de gérer séparément les actifs des clients, ce qui réduit directement le risque de vol de fonds — offrant ainsi une meilleure protection aux utilisateurs, du moins sur le plan réglementaire. Plus largement, la Lituanie, autrefois considérée comme une zone crypto relativement souple en Europe, marque ici un tournant : le changement symbolise un resserrement de la posture réglementaire de toute l’Union européenne. À l’avenir, seuls les acteurs véritablement conformes resteront sur la scène européenne.
Pour les utilisateurs qui utilisent diverses plateformes, il est crucial d’agir maintenant : vérifiez la provenance de la plateforme que vous utilisez. Si elle opère dans l’Union européenne, assurez-vous de suivre l’avancement de sa demande de licence MiCA. La vague de conformité est déjà là, et la première étape pour protéger vos actifs est de choisir des plateformes qui ont réellement obtenu leur licence.
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ZKProofster
· 12-26 13:47
370 contre 30... ouais, c'est la preuve en soi. conformité ou oubli.
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TokenomicsTrapper
· 12-26 09:54
LMAO 370 inscrits mais seulement 30 déposé ? C'est littéralement la configuration de rugpull la plus prévisible que j'aie jamais vue. En fait, si vous lisez le cadre MICA... oui, ils sont tous en train d'être liquidés d'ici la fin de l'année prochaine.
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Anon32942
· 12-26 09:49
Plus de 300 entreprises qui se tournent les pouces, cette fois-ci, elles risquent de prendre une raclée
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SolidityJester
· 12-26 09:39
Plus de 300 entreprises ne postulent pas, à quel point ont-elles confiance... ou alors elles ne prennent pas du tout la régulation au sérieux
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AirdropHermit
· 12-26 09:35
Plus de 300 entreprises n'ont pas fait de demande ? Cette fois, celles qui doivent faire faillite feront faillite, celles qui doivent faire faillite feront faillite.
La scène crypto en Lituanie connaît une transformation majeure. La banque centrale a récemment annoncé une règle stricte : à partir de 2026, tous les prestataires de services cryptographiques opérant localement devront détenir une licence MiCA. La période de transition ne dure que jusqu'à la fin de l'année prochaine, et tout non-détenteur de licence après cette date sera considéré comme illégal, avec une peine maximale pouvant aller jusqu'à 4 ans de prison et de lourdes amendes.
Cette annonce a fait émerger une série de données alarmantes. La Lituanie compte actuellement plus de 370 entreprises enregistrées dans le secteur, mais seulement 30 ont volontairement soumis une demande. Qu’en est-il des autres plus de 300 ? Certaines ont peut-être vraiment abandonné, d’autres restent incertaines. Un nettoyage complet de l’industrie est désormais inévitable.
Que cela signifie-t-il pour les acteurs et les utilisateurs ? Tout d’abord, les petites plateformes de type atelier, sans qualification officielle, seront progressivement éliminées. Pour s’établir sur ce marché, il faut disposer d’une licence légitime. Ensuite, la nouvelle réglementation impose également aux plateformes de gérer séparément les actifs des clients, ce qui réduit directement le risque de vol de fonds — offrant ainsi une meilleure protection aux utilisateurs, du moins sur le plan réglementaire. Plus largement, la Lituanie, autrefois considérée comme une zone crypto relativement souple en Europe, marque ici un tournant : le changement symbolise un resserrement de la posture réglementaire de toute l’Union européenne. À l’avenir, seuls les acteurs véritablement conformes resteront sur la scène européenne.
Pour les utilisateurs qui utilisent diverses plateformes, il est crucial d’agir maintenant : vérifiez la provenance de la plateforme que vous utilisez. Si elle opère dans l’Union européenne, assurez-vous de suivre l’avancement de sa demande de licence MiCA. La vague de conformité est déjà là, et la première étape pour protéger vos actifs est de choisir des plateformes qui ont réellement obtenu leur licence.