La popularité des cartes virtuelles ne faiblit pas récemment, même les médias financiers grand public commencent à s’y intéresser. Aujourd’hui, j’ai enfin osé, en utilisant une carte physique, essayer un retrait d’argent au distributeur de la CCB. J’avais effectivement quelques réserves avant, craignant que la carte ne se fasse avaler, mais après avoir consulté le service client pour confirmer que tout allait bien, je me suis lancé. Le résultat a été étonnamment fluide.
Le processus n’est en réalité pas compliqué — insérer la carte, entrer le code PIN, choisir la langue, sélectionner le compte d’épargne, puis entrer à nouveau le code PIN et choisir la langue une seconde fois. Ce design est un peu redondant mais montre que les mesures de sécurité sont bien faites. J’ai vérifié le solde du compte, il y avait 508,37 dollars américains chargés, le système affichait aussi deux soldes : en dollars et en RMB (3568,51 ¥). Le taux de change était de 7,02, ce qui est plutôt élevé. Comparé à une conversion directe sur une plateforme C2C, cette méthode implique des frais supplémentaires et n’est pas aussi rentable, mais elle est plus sûre et stable, évitant complètement le risque de black金.
Lors du retrait, j’ai rencontré un piège — la première fois, j’ai essayé de retirer 3500 ¥, mais ça a échoué, le système indiquant que la limite était dépassée. En regardant attentivement l’explication à l’écran, j’ai compris que la limite unique pour une carte Visa est de 3000 ¥, tandis que pour une carte MasterCard et JCB, elle n’est que de 1000 ¥. Heureusement, cette carte est une Visa, j’ai simplement changé la limite à 3000 ¥ et ça a marché.
En faisant le calcul, avec une limite de 3000 ¥ par retrait, deux retraits par jour, en dix jours on peut retirer 6万 ¥, et en un mois 20万 ¥, ce qui n’est pas un problème. Ou bien, on peut aussi utiliser la carte pour payer directement via un terminal POS, ce qui offre une bonne flexibilité.
Il y a quelque temps, lors d’un voyage d’affaires à Dubaï, j’ai tout payé en taxi et au restaurant avec cette carte physique. Il faut souligner que cette carte possède une puce IC, ce qui la rend très pratique à l’étranger. J’avais aussi deux autres cartes de crédit chinoises, mais elles n’ont que la bande magnétique. Résultat, la plupart des terminaux POS à l’étranger ont déjà éliminé la lecture de la bande magnétique, heureusement que cette carte m’a sauvé la mise.
Le seul inconvénient est que cette carte ne supporte pas encore la liaison avec Alipay et WeChat. Si vous souhaitez utiliser ces deux plateformes, il vaut mieux demander une carte commençant par 4565, qui, selon les rumeurs, est beaucoup plus compatible avec WeChat et Alipay.
Pour demander une carte physique, il faut désinstaller l’application concernée, puis la réinstaller avec la dernière version. Ou bien, se connecter directement via le site officiel avec un navigateur, ce qui évite pas mal de tracas. Dans l’ensemble, l’expérience montre que la carte virtuelle ouvre une nouvelle voie pour les retraits, ce qui est très pratique pour ceux qui ont besoin de faire des achats à l’étranger ou de gérer des opérations transfrontalières.
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MeltdownSurvivalist
· Il y a 8h
Le taux de change de 7,02 est un peu exagéré, il vaut mieux opter directement pour le C2C, c'est plus avantageux.
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GateUser-26d7f434
· Il y a 21h
Le taux de change de 7,02 fait un peu mal, il est quand même plus avantageux de passer par le C2C de la plateforme d'échange
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WhaleStalker
· 12-26 09:51
Le taux de change de 7,02 est un peu sévère, autant faire un tour directement sur la plateforme d'échange.
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DYORMaster
· 12-26 09:47
Le taux de change de 7,02 est un peu élevé, ce n'est pas aussi avantageux que le C2C.
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OnchainSniper
· 12-26 09:40
Le taux de change de 7,02 est un peu douloureux, il vaut mieux échanger directement en bourse pour encaisser.
La popularité des cartes virtuelles ne faiblit pas récemment, même les médias financiers grand public commencent à s’y intéresser. Aujourd’hui, j’ai enfin osé, en utilisant une carte physique, essayer un retrait d’argent au distributeur de la CCB. J’avais effectivement quelques réserves avant, craignant que la carte ne se fasse avaler, mais après avoir consulté le service client pour confirmer que tout allait bien, je me suis lancé. Le résultat a été étonnamment fluide.
Le processus n’est en réalité pas compliqué — insérer la carte, entrer le code PIN, choisir la langue, sélectionner le compte d’épargne, puis entrer à nouveau le code PIN et choisir la langue une seconde fois. Ce design est un peu redondant mais montre que les mesures de sécurité sont bien faites. J’ai vérifié le solde du compte, il y avait 508,37 dollars américains chargés, le système affichait aussi deux soldes : en dollars et en RMB (3568,51 ¥). Le taux de change était de 7,02, ce qui est plutôt élevé. Comparé à une conversion directe sur une plateforme C2C, cette méthode implique des frais supplémentaires et n’est pas aussi rentable, mais elle est plus sûre et stable, évitant complètement le risque de black金.
Lors du retrait, j’ai rencontré un piège — la première fois, j’ai essayé de retirer 3500 ¥, mais ça a échoué, le système indiquant que la limite était dépassée. En regardant attentivement l’explication à l’écran, j’ai compris que la limite unique pour une carte Visa est de 3000 ¥, tandis que pour une carte MasterCard et JCB, elle n’est que de 1000 ¥. Heureusement, cette carte est une Visa, j’ai simplement changé la limite à 3000 ¥ et ça a marché.
En faisant le calcul, avec une limite de 3000 ¥ par retrait, deux retraits par jour, en dix jours on peut retirer 6万 ¥, et en un mois 20万 ¥, ce qui n’est pas un problème. Ou bien, on peut aussi utiliser la carte pour payer directement via un terminal POS, ce qui offre une bonne flexibilité.
Il y a quelque temps, lors d’un voyage d’affaires à Dubaï, j’ai tout payé en taxi et au restaurant avec cette carte physique. Il faut souligner que cette carte possède une puce IC, ce qui la rend très pratique à l’étranger. J’avais aussi deux autres cartes de crédit chinoises, mais elles n’ont que la bande magnétique. Résultat, la plupart des terminaux POS à l’étranger ont déjà éliminé la lecture de la bande magnétique, heureusement que cette carte m’a sauvé la mise.
Le seul inconvénient est que cette carte ne supporte pas encore la liaison avec Alipay et WeChat. Si vous souhaitez utiliser ces deux plateformes, il vaut mieux demander une carte commençant par 4565, qui, selon les rumeurs, est beaucoup plus compatible avec WeChat et Alipay.
Pour demander une carte physique, il faut désinstaller l’application concernée, puis la réinstaller avec la dernière version. Ou bien, se connecter directement via le site officiel avec un navigateur, ce qui évite pas mal de tracas. Dans l’ensemble, l’expérience montre que la carte virtuelle ouvre une nouvelle voie pour les retraits, ce qui est très pratique pour ceux qui ont besoin de faire des achats à l’étranger ou de gérer des opérations transfrontalières.