Pourquoi les investisseurs particuliers ont-ils tendance à se faire piéger ?
En fin de compte, ce n’est pas un problème de compétence technique, mais le fait qu’ils n’ont tout simplement pas bien calculé le risque.
Il y a quelque temps, j’ai révisé le cadre de gestion des risques pour un fan. Le montant des fonds n’était pas élevé, mais la capacité d’exécution était forte, et en six mois, le compte s’est nettement stabilisé.
L’essentiel est une seule chose : d’abord réfléchir à la perte maximale possible, puis parler du potentiel de gain.
Beaucoup de gens, dès qu’ils entrent sur le marché, pensent uniquement à "jusqu’où ça peut monter", sans jamais se demander "et si je me trompe ?". Dès que le marché tourne, leur mental explose.
Ma logique de trading est très simple.
Pour les contrats, la taille de la position doit être légère, et le stop-loss doit être rapide. C’est comme couper avec une lame au bord du couteau — définir des limites claires pour soi, et sortir dès que ces limites sont atteintes. Cela peut sembler que chaque gain est modeste, mais en accumulant ainsi, le compte devient naturellement stable.
Ce n’est pas la même chose avec le trading au comptant. Si vous voulez faire du swing trading, il faut accepter la volatilité intermédiaire. Placez le stop-loss à un endroit "qui sauve la vie", et dès que la structure se brise, sortez sans hésiter.
Prenez vos profits par étapes, et faites suivre le reste avec un stop-loss mobile. Personne ne peut vendre au sommet absolu, mais vendre à un niveau élevé, c’est déjà une victoire en soi.
En fin de compte, la position est la base de tout.
Avec une position légère, votre esprit peut encore tourner ; avec une position lourde, même la respiration devient déformée. Ne pas mettre de stop-loss en position lourde, c’est jouer sa vie.
Le stop-loss n’est pas une perte d’argent, c’est une assurance. Prendre des profits n’est pas de la cupidité, c’est une récompense du marché.
Chaque transaction doit être traitée comme si c’était la plus mauvaise des situations. Résolvez d’abord la question "comment perdre", puis réfléchissez à "comment gagner".
Les opportunités existent toujours, mais si le capital est épuisé, même le meilleur marché ne vous concerne plus.
Pour savoir si cette vague de marché pourra réparer votre compte, à la fin, ce n’est pas le marché lui-même qui compte, mais si vous avez sérieusement pris en compte la gestion des risques.
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MemeKingNFT
· Il y a 12h
Putain, c'est vraiment la sagesse sur la chaîne, il aurait fallu voir ça comme ça depuis le début
La stratégie de petite position, de stop-loss rapide, je ne l'ai pas respectée quand j'ai fait faillite avec mes NFT, maintenant je comprends
Investir lourdement sans mettre de stop-loss, c'est vraiment jouer sa vie, cette phrase m'a touché en plein cœur
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OfflineNewbie
· Il y a 13h
Une position, un stop-loss, il n'y a vraiment rien à redire. Je crains juste ceux qui prennent des grosses positions sans sortir, et qui se réveillent comme si le temps était revenu à l'époque de la libération.
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DataBartender
· Il y a 13h
Vraiment, j'ai vu trop de personnes miser tout en une seule fois et voir leur compte se vider, dès que leur mental craque, tout est fini.
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OnchainHolmes
· Il y a 13h
Ce n'est pas faux, la position et l'état d'esprit sont vraiment deux faces d'une même pièce, quand on prend une grosse position, on ne pense plus clairement.
Pourquoi les investisseurs particuliers ont-ils tendance à se faire piéger ?
En fin de compte, ce n’est pas un problème de compétence technique, mais le fait qu’ils n’ont tout simplement pas bien calculé le risque.
Il y a quelque temps, j’ai révisé le cadre de gestion des risques pour un fan. Le montant des fonds n’était pas élevé, mais la capacité d’exécution était forte, et en six mois, le compte s’est nettement stabilisé.
L’essentiel est une seule chose : d’abord réfléchir à la perte maximale possible, puis parler du potentiel de gain.
Beaucoup de gens, dès qu’ils entrent sur le marché, pensent uniquement à "jusqu’où ça peut monter", sans jamais se demander "et si je me trompe ?". Dès que le marché tourne, leur mental explose.
Ma logique de trading est très simple.
Pour les contrats, la taille de la position doit être légère, et le stop-loss doit être rapide. C’est comme couper avec une lame au bord du couteau — définir des limites claires pour soi, et sortir dès que ces limites sont atteintes. Cela peut sembler que chaque gain est modeste, mais en accumulant ainsi, le compte devient naturellement stable.
Ce n’est pas la même chose avec le trading au comptant. Si vous voulez faire du swing trading, il faut accepter la volatilité intermédiaire. Placez le stop-loss à un endroit "qui sauve la vie", et dès que la structure se brise, sortez sans hésiter.
Prenez vos profits par étapes, et faites suivre le reste avec un stop-loss mobile. Personne ne peut vendre au sommet absolu, mais vendre à un niveau élevé, c’est déjà une victoire en soi.
En fin de compte, la position est la base de tout.
Avec une position légère, votre esprit peut encore tourner ; avec une position lourde, même la respiration devient déformée. Ne pas mettre de stop-loss en position lourde, c’est jouer sa vie.
Le stop-loss n’est pas une perte d’argent, c’est une assurance. Prendre des profits n’est pas de la cupidité, c’est une récompense du marché.
Chaque transaction doit être traitée comme si c’était la plus mauvaise des situations. Résolvez d’abord la question "comment perdre", puis réfléchissez à "comment gagner".
Les opportunités existent toujours, mais si le capital est épuisé, même le meilleur marché ne vous concerne plus.
Pour savoir si cette vague de marché pourra réparer votre compte, à la fin, ce n’est pas le marché lui-même qui compte, mais si vous avez sérieusement pris en compte la gestion des risques.