La nuit à Tokyo reste éclatante, mais le scintillement des taux de change sur les écrans numériques envoie un signal d’alerte.
Lundi, la déclaration du ministre japonais des Finances, Shōgetsu Katayama, a secoué le marché — « En cas de fluctuations anormales déconnectées des fondamentaux, nous disposons du pouvoir d’intervenir de manière décisive. » À peine sa déclaration terminée, le yen a immédiatement rebondi. Les vendeurs à découvert à court terme ont reculé, le marché semble s’être calmé.
Cependant, cette tranquillité n’est qu’apparent. Les réserves de change de 13 000 milliards de dollars semblent importantes, mais l’année dernière, 66 milliards ont été brûlés. Actuellement, le taux de change s’approche à nouveau du seuil de 160, combien de rounds cette ministre pourra-t-elle encore soutenir ? Plus ironique encore, après une hausse des taux, le yen s’est déprécié, et le marché commence à railler : « Ce n’est pas une consolidation de la monnaie, c’est clairement une mise à l’épreuve de la ligne de fond du gouvernement. »
L’écart de taux d’intérêt entre les États-Unis et le Japon a déjà atteint 5,4 %, et les flux de capitaux en dollars continuent de sortir du Japon. Par ailleurs, le gouvernement a lancé un budget supplémentaire de 18,3 trillions de yens en urgence, mais le marché obligataire montre des signes de crise — le rendement des obligations d’État à 10 ans a directement atteint 2,1 %. La politique est contradictoire, comme une danse sur la corde raide, prête à tomber à tout moment.
Shōgetsu Katayama, qui possède un réseau solide à Washington, a également lancé un avertissement sévère : « En alerte permanente, sans jour de repos. » Mais les réserves de change s’épuisent, la confiance vacille, la prochaine intervention pourrait être un radeau de sauvetage ou une lutte désespérée avant la fin. La grande partie de cette mise en jeu nationale a déjà commencé le compte à rebours pour la nouvelle année…
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CryingOldWallet
· Il y a 14h
Les opérations ici au Japon sont un peu agressives, 66 milliards de réserves étrangères en un an ont été dépensés, combien de temps cette réserve peut-elle durer ?
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ApeEscapeArtist
· Il y a 14h
Cette opération au Japon est vraiment se tirer une balle dans le pied, augmenter les taux d'intérêt peut faire baisser la valeur de la crypto, c'est vraiment incroyable haha
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RektButAlive
· Il y a 14h
Cette opération du gouvernement japonais ressemble à jouer avec le feu, ils manquent de munitions mais doivent continuer à tenir...
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ShibaOnTheRun
· Il y a 14h
Le Japon commence à nouveau à lancer des menaces, est-ce vraiment juste des paroles? Les réserves de change de 66 milliards ont disparu directement, combien de fois pourra-t-on intervenir la prochaine fois?
#数字资产市场动态 $BTC $ETH $ZEC
La nuit à Tokyo reste éclatante, mais le scintillement des taux de change sur les écrans numériques envoie un signal d’alerte.
Lundi, la déclaration du ministre japonais des Finances, Shōgetsu Katayama, a secoué le marché — « En cas de fluctuations anormales déconnectées des fondamentaux, nous disposons du pouvoir d’intervenir de manière décisive. » À peine sa déclaration terminée, le yen a immédiatement rebondi. Les vendeurs à découvert à court terme ont reculé, le marché semble s’être calmé.
Cependant, cette tranquillité n’est qu’apparent. Les réserves de change de 13 000 milliards de dollars semblent importantes, mais l’année dernière, 66 milliards ont été brûlés. Actuellement, le taux de change s’approche à nouveau du seuil de 160, combien de rounds cette ministre pourra-t-elle encore soutenir ? Plus ironique encore, après une hausse des taux, le yen s’est déprécié, et le marché commence à railler : « Ce n’est pas une consolidation de la monnaie, c’est clairement une mise à l’épreuve de la ligne de fond du gouvernement. »
L’écart de taux d’intérêt entre les États-Unis et le Japon a déjà atteint 5,4 %, et les flux de capitaux en dollars continuent de sortir du Japon. Par ailleurs, le gouvernement a lancé un budget supplémentaire de 18,3 trillions de yens en urgence, mais le marché obligataire montre des signes de crise — le rendement des obligations d’État à 10 ans a directement atteint 2,1 %. La politique est contradictoire, comme une danse sur la corde raide, prête à tomber à tout moment.
Shōgetsu Katayama, qui possède un réseau solide à Washington, a également lancé un avertissement sévère : « En alerte permanente, sans jour de repos. » Mais les réserves de change s’épuisent, la confiance vacille, la prochaine intervention pourrait être un radeau de sauvetage ou une lutte désespérée avant la fin. La grande partie de cette mise en jeu nationale a déjà commencé le compte à rebours pour la nouvelle année…