Ces dernières années, en évoluant sur le marché, la leçon la plus profonde est en réalité très simple : tant qu’on est en vie, il y a de l’espoir.
J’ai vu trop de personnes devenir riches du jour au lendemain, et encore plus de personnes faire faillite en un instant. En cinq ans, passant d’un débutant maladroit à quelqu’un qui peut désormais générer des profits stables, la véritable clé réside dans deux mots — discipline. Ce n’est pas une technique sophistiquée, c’est simplement faire preuve d’une gestion rigoureuse du positionnement, en calculant chaque risque avec précision.
**Garder le capital initial est la première étape**
Au début, je faisais comme tous les débutants, je laissais mon enthousiasme prendre le dessus. Dès que le marché bougeait, je ne pouvais pas rester en place, je voulais tout mettre en jeu. À cette époque, je ne comprenais pas ce qu’était le risque, je pensais qu’une occasion manquée équivalait à manquer un milliard. Et le résultat ? Une petite correction me faisait sortir du marché, avec tout mon capital investi.
Ce n’est que plus tard que j’ai compris que le vrai enjeu du positionnement n’était pas de faire rouler les profits, mais de faire rouler le capital initial. Pour chaque ordre, je limite mon exposition à 7% du total de mes fonds, même pour les opportunités que je trouve très prometteuses. Certains disent que c’est trop prudent, mais c’est cette discipline qui m’a permis de survivre à d’innombrables « cygnes noirs ».
Un autre détail crucial — n’augmentez votre position que lorsque vous avez un gain flottant. Si votre compte est encore en perte, cela signifie que le marché n’a pas encore validé votre jugement, alors pourquoi continuer à investir ? Ce n’est pas de la cupidité, c’est pour que chaque euro ait une signification.
La stratégie la plus dure consiste à fixer une limite de perte à 1%. Cela peut sembler strict, mais c’est ma philosophie de survie : perdre peu pour tenter de gagner gros. Si je me trompe ? Je prends la perte et je sors. Cela me permet de conserver ma force, en attendant la prochaine vraie opportunité.
**Suivre le marché, ne pas suivre ses émotions**
Les ordres de stop-loss et de take-profit n’ont pas de formule fixe, l’essentiel est de rester en phase avec le rythme réel du marché. J’utilise la moyenne mobile exponentielle (EMA) à court et moyen terme pour juger de la direction, plutôt que de m’accrocher à un pourcentage précis. Peu importe la direction que prend le marché, je la suis. Tant que la tendance est là, je laisse courir mes profits ; dès qu’elle se brise, je coupe immédiatement.
Beaucoup de pertes viennent du fait de suivre ses émotions — vouloir tout prendre quand ça monte, paniquer quand ça baisse. En réalité, le trading est une guerre psychologique : il faut fixer des règles strictes, puis les appliquer mécaniquement. L’émotion, dans ce marché, est la chose la plus précieuse à éviter.
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DYORMaster
· Il y a 12h
Eh vraiment, la stratégie de 7% de position que j'utilise aussi, vivre suffisamment longtemps permet vraiment de s'en sortir
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Stop-loss à 1% semble serré mais ça a vraiment sauvé la vie, bien plus que ceux qui misent tout en une seule fois
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Le plus important reste la construction mentale, combien de personnes sont mortes à cause de leur cupidité à ce moment-là
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Cette logique n'a pas de défaut, mais il faut aussi reconnaître que la chance joue un rôle important, même ceux avec une discipline forte se font parfois piéger
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Ajouter des positions uniquement lorsque le gain flottant est là, c'est une idée géniale, ça a coupé court à mes opérations stupides où je perdais de l'argent en forçant
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Comment as-tu configuré la ligne EMA, pour quelle période à court terme ?
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Ceux qui ont survécu à la cygne noir sont tous si prudents, alors que moi je rêve encore de faire un retournement de situation
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Apparemment conservateur, c'est en réalité la stratégie la plus agressive, la puissance des intérêts composés est sous-estimée
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GasFeeCrier
· Il y a 12h
7%止损听着保守,但真的活下来了啊
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Putain, c'est ça qui me manquait... le problème de mentalité, à chaque fois je veux être avide
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Vivre, c'est avoir de l'espoir, c'est tellement percutant
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J'ai essayé la méthode EMA, c'est juste que je manque d'exécution, à chaque fois je veux faire du bottom fishing
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Sérieusement, dis-moi, combien de profits stables as-tu vraiment généré en cinq ans
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Discipline, c'est un mot simple à dire, mais vraiment difficile à appliquer
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Stop-loss de 1% ? Alors combien de transactions faut-il faire chaque mois pour revenir à l'équilibre
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Suivre ses émotions... je suis celui qui panique quand ça monte et qui vend en panique quand ça baisse, il faut que je change
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L'idée de préserver le capital est vraiment géniale, j'ai tout misé dessus avant
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Ajouter des positions uniquement en cas de gains flottants, ce détail est génial
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FortuneTeller42
· Il y a 13h
C'est vrai, vivre donne effectivement de l'espoir. Cependant, je constate que la plupart des gens meurent à cause de leur cupidité. J'utilise aussi cette stratégie de 7% de position, mais je ne peux pas résister à la tentation des histoires de nombreuses personnes autour de moi qui gagnent 10% par jour.
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SigmaBrain
· Il y a 13h
La discipline peut sembler simple à dire, mais combien de personnes peuvent réellement maintenir une position de 7% ?
Stop-loss à 1%, ça paraît serré, mais je pense que le plus important, c'est l'état d'esprit... La plupart des gens échouent parce qu'ils ne veulent pas couper leurs pertes.
Tant qu'on est en vie, il y a de l'espoir, mais à condition que le capital soit toujours là.
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AirdropHunterZhang
· Il y a 13h
Ça a l'air bien, mais je pense que le taux de 7% pourrait être encore plus agressif... De toute façon, faire zéro ne me dérange pas, l'essentiel c'est de rester en vie.
Ces dernières années, en évoluant sur le marché, la leçon la plus profonde est en réalité très simple : tant qu’on est en vie, il y a de l’espoir.
J’ai vu trop de personnes devenir riches du jour au lendemain, et encore plus de personnes faire faillite en un instant. En cinq ans, passant d’un débutant maladroit à quelqu’un qui peut désormais générer des profits stables, la véritable clé réside dans deux mots — discipline. Ce n’est pas une technique sophistiquée, c’est simplement faire preuve d’une gestion rigoureuse du positionnement, en calculant chaque risque avec précision.
**Garder le capital initial est la première étape**
Au début, je faisais comme tous les débutants, je laissais mon enthousiasme prendre le dessus. Dès que le marché bougeait, je ne pouvais pas rester en place, je voulais tout mettre en jeu. À cette époque, je ne comprenais pas ce qu’était le risque, je pensais qu’une occasion manquée équivalait à manquer un milliard. Et le résultat ? Une petite correction me faisait sortir du marché, avec tout mon capital investi.
Ce n’est que plus tard que j’ai compris que le vrai enjeu du positionnement n’était pas de faire rouler les profits, mais de faire rouler le capital initial. Pour chaque ordre, je limite mon exposition à 7% du total de mes fonds, même pour les opportunités que je trouve très prometteuses. Certains disent que c’est trop prudent, mais c’est cette discipline qui m’a permis de survivre à d’innombrables « cygnes noirs ».
Un autre détail crucial — n’augmentez votre position que lorsque vous avez un gain flottant. Si votre compte est encore en perte, cela signifie que le marché n’a pas encore validé votre jugement, alors pourquoi continuer à investir ? Ce n’est pas de la cupidité, c’est pour que chaque euro ait une signification.
La stratégie la plus dure consiste à fixer une limite de perte à 1%. Cela peut sembler strict, mais c’est ma philosophie de survie : perdre peu pour tenter de gagner gros. Si je me trompe ? Je prends la perte et je sors. Cela me permet de conserver ma force, en attendant la prochaine vraie opportunité.
**Suivre le marché, ne pas suivre ses émotions**
Les ordres de stop-loss et de take-profit n’ont pas de formule fixe, l’essentiel est de rester en phase avec le rythme réel du marché. J’utilise la moyenne mobile exponentielle (EMA) à court et moyen terme pour juger de la direction, plutôt que de m’accrocher à un pourcentage précis. Peu importe la direction que prend le marché, je la suis. Tant que la tendance est là, je laisse courir mes profits ; dès qu’elle se brise, je coupe immédiatement.
Beaucoup de pertes viennent du fait de suivre ses émotions — vouloir tout prendre quand ça monte, paniquer quand ça baisse. En réalité, le trading est une guerre psychologique : il faut fixer des règles strictes, puis les appliquer mécaniquement. L’émotion, dans ce marché, est la chose la plus précieuse à éviter.