En regardant 2026, l'Asie du Sud-Est semble être le principal catalyseur. Lorsque Powell quittera son poste en mai, les baisses de taux devraient s'accélérer — et c'est à ce moment-là que l'argent réel commencera à rechercher des rendements. Les marchés émergents attirent historiquement les plus gros flux lors de tels moments de pivot. Voici le truc : avec une liquidité encore relativement tendue sur l'ensemble des marchés, il ne faudra pas de flux de capitaux massifs pour faire monter les valorisations. Les ratios cours/bénéfices pourraient s'étendre de façon spectaculaire, et honnêtement, il semblera que tout le monde l'avait prévu. La configuration semble claire sur le papier. Reste à voir si l'exécution correspondra aux attentes, mais les éléments structurels sont là.