Un dirigeant européen a récemment exercé de fortes pressions pour accélérer le processus de conversion des avoirs russes gelés en un prêt de réparations pour l’Ukraine. Cette proposition met en lumière l’urgence de la situation, présentant le conflit comme une menace directe pour la stabilité du continent.
Ce qui est intéressant ici, d’un point de vue financier, ce sont les mécanismes permettant de transformer des avoirs gelés en capital liquide. Il s’agit d’un énorme volume de fonds resté inactif sous le régime des sanctions, et il y a désormais une pression pour le mobiliser via des prêts structurés. Le calendrier suggère que les responsables cherchent des moyens créatifs de financer le soutien sans puiser directement dans les budgets nationaux.
Ce type de réaffectation d’actifs sous pression géopolitique n’est pas nouveau, mais l’ampleur et la rapidité exigées ici sont remarquables. Cela soulève des questions de précédents : comment les avoirs gelés sont reclassifiés, quels cadres juridiques permettent de tels transferts, et si cela constitue un modèle pour de futurs scénarios. Pour quiconque suit la finance transfrontalière ou l’application des sanctions, il s’agit d’un dossier à surveiller de près.
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DustCollector
· 12-08 08:10
Transférer directement des actifs gelés ? Cette astuce est-elle vraiment fiable ?
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HodlKumamon
· 12-08 08:07
Actifs gelés transformés en prêts d'indemnisation ? J’ai fouillé un peu dans les données historiques, on a déjà vu ce genre de manœuvre, mais à cette échelle et à cette vitesse, c’est du jamais vu… Comment le cadre juridique va-t-il suivre ?
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Pour être honnête, ce genre de “financement créatif” n’arrive que quand il n’y a plus de budget : piquer directement dans la poche des citoyens, ça fait mauvais genre, alors on transforme ça en “prêt structuré”, ça fait plus présentable et les chiffres semblent meilleurs.
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Eh, ils considèrent vraiment les actifs gelés comme de la liquidité ? Ça me rappelle une question — une fois que ce modèle est validé, dans quelles autres “situations d’urgence” pourra-t-on réutiliser cette astuce… C’est un peu flippant, non ?
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Les actifs en dollars gelés en Arabie Saoudite, les actifs russes gelés en Europe… Une fois que l’Europe a ouvert cette boîte de Pandore, qui peut garantir que le prochain, ce ne sera pas lui-même (´;ω;`)
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D’après les modèles de risque du financement transfrontalier, ce genre de conversion forcée entraîne généralement une revalorisation du crédit, mais chut — les données ne sont pas encore à jour, il est trop tôt pour se prononcer.
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SchrodingerGas
· 12-08 08:07
Liquidation d’actifs gelés : appliquée on-chain, cette logique revient à forcer la réalisation d’une prime de liquidité... En réalité, cette manœuvre européenne teste les limites juridiques de la confiscation d’actifs, et les implications à venir sont considérables.
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ImaginaryWhale
· 12-08 08:00
Putain, ils ont encore trouvé une nouvelle astuce pour se faire de l'argent, cette fois c'est vraiment "paroles dures mais cœur tendre" ?
La méthode de revitalisation des frozen assets, à l'avenir, il faudra que tout le monde fasse attention à ne pas se faire geler...
Cette logique est un peu sauvage, mais il faut vraiment voir comment ça va évoluer.
Encore du financement créatif, encore de la pression géopolitique, pour faire simple, c'est juste qu'ils n'ont plus d'argent.
Si ça devient vraiment un précédent, il y aura beaucoup plus d'histoires à raconter par la suite.
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ETH_Maxi_Taxi
· 12-08 07:58
NGL cette opération est vraiment incroyable, geler les actifs sur un compte actif c'est un peu fou...
Un dirigeant européen a récemment exercé de fortes pressions pour accélérer le processus de conversion des avoirs russes gelés en un prêt de réparations pour l’Ukraine. Cette proposition met en lumière l’urgence de la situation, présentant le conflit comme une menace directe pour la stabilité du continent.
Ce qui est intéressant ici, d’un point de vue financier, ce sont les mécanismes permettant de transformer des avoirs gelés en capital liquide. Il s’agit d’un énorme volume de fonds resté inactif sous le régime des sanctions, et il y a désormais une pression pour le mobiliser via des prêts structurés. Le calendrier suggère que les responsables cherchent des moyens créatifs de financer le soutien sans puiser directement dans les budgets nationaux.
Ce type de réaffectation d’actifs sous pression géopolitique n’est pas nouveau, mais l’ampleur et la rapidité exigées ici sont remarquables. Cela soulève des questions de précédents : comment les avoirs gelés sont reclassifiés, quels cadres juridiques permettent de tels transferts, et si cela constitue un modèle pour de futurs scénarios. Pour quiconque suit la finance transfrontalière ou l’application des sanctions, il s’agit d’un dossier à surveiller de près.