Récemment, le secteur a de nouveau été secoué : l’ancien PDG d’une grande plateforme d’échange, "CZ", est allé rencontrer des dirigeants de plusieurs pays pour leur souffler à l’oreille que s’ils n’accumulent pas de Bitcoin maintenant, il leur faudra peut-être dépenser 50 millions de dollars par unité pour entrer sur le marché à l’avenir.

Le raisonnement du bonhomme est en fait assez simple : le Bitcoin, sur le long terme, a de très fortes chances de monter. Si les acteurs institutionnels nationaux restent spectateurs aujourd’hui, le jour où ils voudront vraiment entrer, le coût risque d’être insoutenable. En clair : acheter tôt, c’est une stratégie ; acheter tard, c’est courir après le marché et servir de contrepartie.

Que tu croies ou non à cette prédiction de prix, il y a tout de même un point à méditer : de plus en plus de pays incluent le BTC dans leurs discussions stratégiques sur les réserves. Au fond, ce que "CZ" fait, c’est continuer à chauffer le débat sur l’allocation d’actifs cryptos à l’échelle nationale. Selon toi, s’agit-il d’une véritable vision ou simplement d’un pur discours marketing ?