Une grande plateforme de médias sociaux vient de révéler quelque chose d’incroyable sur la façon dont les régulateurs opèrent à huis clos. Selon les déclarations de la direction de la plateforme, des responsables de la Commission européenne auraient proposé un arrangement controversé : mettre en place des restrictions de contenu sans divulgation publique, en échange de la levée des sanctions.
Voici le plus surprenant : il semblerait que la plupart des plateformes aient accepté l’accord. Mais une a refusé.
Cette révélation soulève de sérieuses questions sur la transparence de l’application des réglementations. Lorsque des agences gouvernementales négocient en secret les conditions de conformité avec des entreprises technologiques, qui protège réellement les intérêts des utilisateurs ? Toute cette situation a des allures de tractations en coulisses déguisées en protection des consommateurs.
Ce qui est particulièrement frappant, c’est la façon dont cela s’inscrit dans les tensions croissantes entre les plateformes et les autorités européennes. Nous avons vu des amendes agressives, des enquêtes publiques, et maintenant des allégations d’accords non divulgués. Le paysage réglementaire devient chaque jour plus complexe.
Pour quiconque évolue dans la crypto ou les technologies décentralisées, cela doit tirer la sonnette d’alarme. Si les plateformes centralisées subissent des pressions pour modérer discrètement le contenu, qu’est-ce que cela signifie pour les protocoles réellement ouverts ? La frontière entre conformité et censure devient de plus en plus floue.
La perspective globale ? Cela pourrait complètement transformer la façon dont les plateformes abordent le marché européen. Transparence ou faveur réglementaire : il semble désormais qu’il faille choisir.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
12 J'aime
Récompense
12
3
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
SilentObserver
· Il y a 22h
Putain, encore ce genre de trucs... L’UE, c’est vraiment le modèle typique de la conformité par la coercition.
Supprimer du contenu en douce sans même infliger d’amende ? La plupart des plateformes acceptent, c’est fou.
Le secteur crypto va devoir être encore plus prudent, le prochain à se faire avoir, c’est peut-être nous.
La censure prend le masque de la conformité, plus personne ne peut faire la différence.
Les plateformes doivent choisir entre la transparence et leur survie... c’est dur.
Ce genre de choses devient de plus en plus courant, j’ai l’impression qu’on va découvrir une nouvelle bombe chaque jour.
Voir l'originalRépondre0
MidnightTrader
· Il y a 23h
Putain, c’est exactement ce dont les web3ers doivent se méfier... Magouilles en coulisses emballées comme une protection des utilisateurs, quelle putain d’ironie.
Encore le coup de l’UE : amendes sans discussion, et on te fait taire sans discuter non plus.
La plupart des plateformes ont cédé ? C’est n’importe quoi... On est encore loin d’un protocole vraiment ouvert.
Compliance ou censure, au final c’est toujours le pouvoir qui décide.
Voir l'originalRépondre0
StrawberryIce
· 12-06 23:46
C'est louche... L'UE joue vraiment à un niveau très profond, on dirait qu'il n'y a aucune véritable transparence.
Encore des magouilles en coulisses. Le plus dingue, c'est que la plupart des plateformes ont fini par céder.
C'est ça, la tristesse de la centralisation, pas étonnant que tout le monde se tourne vers la crypto.
J'attends que le web3 vienne nous sauver 😤
Une grande plateforme de médias sociaux vient de révéler quelque chose d’incroyable sur la façon dont les régulateurs opèrent à huis clos. Selon les déclarations de la direction de la plateforme, des responsables de la Commission européenne auraient proposé un arrangement controversé : mettre en place des restrictions de contenu sans divulgation publique, en échange de la levée des sanctions.
Voici le plus surprenant : il semblerait que la plupart des plateformes aient accepté l’accord. Mais une a refusé.
Cette révélation soulève de sérieuses questions sur la transparence de l’application des réglementations. Lorsque des agences gouvernementales négocient en secret les conditions de conformité avec des entreprises technologiques, qui protège réellement les intérêts des utilisateurs ? Toute cette situation a des allures de tractations en coulisses déguisées en protection des consommateurs.
Ce qui est particulièrement frappant, c’est la façon dont cela s’inscrit dans les tensions croissantes entre les plateformes et les autorités européennes. Nous avons vu des amendes agressives, des enquêtes publiques, et maintenant des allégations d’accords non divulgués. Le paysage réglementaire devient chaque jour plus complexe.
Pour quiconque évolue dans la crypto ou les technologies décentralisées, cela doit tirer la sonnette d’alarme. Si les plateformes centralisées subissent des pressions pour modérer discrètement le contenu, qu’est-ce que cela signifie pour les protocoles réellement ouverts ? La frontière entre conformité et censure devient de plus en plus floue.
La perspective globale ? Cela pourrait complètement transformer la façon dont les plateformes abordent le marché européen. Transparence ou faveur réglementaire : il semble désormais qu’il faille choisir.