Le candidat de Trump à la tête de la NASA vient de faire une déclaration audacieuse qui fait sensation. Jared Isaacman, l’entrepreneur milliardaire choisi pour diriger l’agence spatiale, se prépare à témoigner devant le Sénat avec un objectif clair : devancer les principaux concurrents pour retourner sur la Lune et y établir une présence permanente.

Isaacman pousse pour un calendrier ambitieux. Son argument ? Les États-Unis ne peuvent pas se permettre de prendre du retard dans cette nouvelle course à l’espace. Il s’agit de construire des infrastructures durables, pas seulement de planter des drapeaux pour la photo.

La compétition s’intensifie. Plusieurs nations convoitent les ressources lunaires et cherchent à se positionner stratégiquement. Le témoignage d’Isaacman marque un tournant : l’exploration spatiale est désormais abordée à la fois comme une entreprise scientifique et comme une partie d’échecs géopolitique.

Ce qui est intéressant ici, c’est que la question ne se limite plus à la fierté nationale. Une présence sur la Lune pourrait ouvrir de nouvelles opportunités économiques, de l’extraction de matériaux rares à l’établissement de bases de recherche. Les enjeux n’ont jamais été aussi élevés.