Bruxelles resserre la vis sur l'infrastructure télécom chinoise. Ce qui a commencé comme une recommandation volontaire pour éliminer progressivement le matériel Huawei et ZTE devient désormais une obligation dans tous les États membres de l'UE.
Le bloc ne se contente plus de demander poliment — il sort le chéquier comme levier de pression. On murmure que l'UE pourrait couper le financement aux pays non membres utilisant encore du matériel Huawei dans leurs réseaux. C'est une démarche assez agressive, qui montre qu'ils sont très sérieux dans cette refonte de la sécurité.
Nokia profite de cette situation. Cela se comprend — lorsque vous éliminez la concurrence par des mesures réglementaires, quelqu’un doit prendre en charge ces contrats d’infrastructure. Les fournisseurs européens sont en position pour capter des parts de marché alors que les opérateurs déconnectent et remplacent leurs composants de réseau central.
Toute cette situation montre comment les chaînes d’approvisionnement technologiques sont devenues des outils dans des jeux géopolitiques plus larges. L’infrastructure télécom n’était autrefois qu’une question de spécifications et de prix. Maintenant, il s’agit aussi de la nationalité des fournisseurs.
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PerennialLeek
· Il y a 8h
Huawei est vraiment malchanceux.
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WalletManager
· Il y a 8h
Les barrières technologiques ne signifient pas encore que l'argent parle.
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WenMoon42
· Il y a 8h
Notre Union européenne est vraiment trop agressive.
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PaperHandsCriminal
· Il y a 8h
Eh, c'est trop triste, les pigeons ont tous été pris pour des idiots et doivent encore se livrer eux-mêmes~
Bruxelles resserre la vis sur l'infrastructure télécom chinoise. Ce qui a commencé comme une recommandation volontaire pour éliminer progressivement le matériel Huawei et ZTE devient désormais une obligation dans tous les États membres de l'UE.
Le bloc ne se contente plus de demander poliment — il sort le chéquier comme levier de pression. On murmure que l'UE pourrait couper le financement aux pays non membres utilisant encore du matériel Huawei dans leurs réseaux. C'est une démarche assez agressive, qui montre qu'ils sont très sérieux dans cette refonte de la sécurité.
Nokia profite de cette situation. Cela se comprend — lorsque vous éliminez la concurrence par des mesures réglementaires, quelqu’un doit prendre en charge ces contrats d’infrastructure. Les fournisseurs européens sont en position pour capter des parts de marché alors que les opérateurs déconnectent et remplacent leurs composants de réseau central.
Toute cette situation montre comment les chaînes d’approvisionnement technologiques sont devenues des outils dans des jeux géopolitiques plus larges. L’infrastructure télécom n’était autrefois qu’une question de spécifications et de prix. Maintenant, il s’agit aussi de la nationalité des fournisseurs.