Le paiement par stablecoin, en gros, se résume à un problème de frais de Gas et de vitesse. Quand vous transférez du USDT, vous attendez soit une éternité, soit vous payez des frais plus élevés que le montant transféré — on peut vraiment parler de paiement dans ces conditions ? La nouvelle blockchain Plasma vise précisément à résoudre ce problème.
L’équipe la positionne clairement : un réseau Layer1 spécialement conçu pour les stablecoins. L’objectif est de rendre les transferts sur la chaîne aussi fluides que l’envoi de messages WeChat, avec zéro frais et une confirmation en quelques secondes. Cela peut sembler un peu idéaliste ? Mais la voie technologique est plutôt solide.
Le cœur du projet repose sur leur protocole de consensus PlasmaBFT, développé en interne. Basé sur une adaptation de Fast HotStuff, il se distingue par sa capacité à traiter entièrement en parallèle — les étapes de proposition, de vote et de confirmation ne nécessitent pas de file d’attente, elles s’exécutent en multithreading simultanément.
Les performances annoncées sont encourageantes : un débit théorique pouvant atteindre plusieurs milliers de transactions par seconde, avec une confirmation finale en environ deux secondes. Et ce n’est pas juste un chiffre sur une présentation ; le code est écrit en Rust, une implémentation prête pour la production, pas une simple preuve de concept.
Le plan à terme est d’ouvrir progressivement la participation des nœuds externes au consensus, pour renforcer la décentralisation du réseau. En somme, cette blockchain cherche à reconstruire l’infrastructure sous-jacente des stablecoins — pour que USDT et autres puissent réellement fonctionner efficacement et être utilisables au quotidien.
Bien sûr, la réussite d’une nouvelle blockchain ne dépend pas uniquement de la technique ; l’écosystème, la conformité réglementaire et l’adoption par les utilisateurs sont tout aussi cruciaux. Mais l’orientation est claire : le marché du paiement a besoin de solutions plus performantes.
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PessimisticLayer
· 11-10 10:54
Encore une nouvelle machine à prendre les gens pour des idiots ?
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SquidTeacher
· 11-10 10:49
Fiable écrit en Rust
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OnlyUpOnly
· 11-10 10:37
Venez voir si cela peut vraiment fonctionner
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MemeEchoer
· 11-10 10:26
Enfin, quelqu'un s'occupe des frais de gas.
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NoStopLossNut
· 11-10 10:25
Les développeurs racontent n'importe quoi, on en reparle une fois que c'est en ligne.
Le paiement par stablecoin, en gros, se résume à un problème de frais de Gas et de vitesse. Quand vous transférez du USDT, vous attendez soit une éternité, soit vous payez des frais plus élevés que le montant transféré — on peut vraiment parler de paiement dans ces conditions ? La nouvelle blockchain Plasma vise précisément à résoudre ce problème.
L’équipe la positionne clairement : un réseau Layer1 spécialement conçu pour les stablecoins. L’objectif est de rendre les transferts sur la chaîne aussi fluides que l’envoi de messages WeChat, avec zéro frais et une confirmation en quelques secondes. Cela peut sembler un peu idéaliste ? Mais la voie technologique est plutôt solide.
Le cœur du projet repose sur leur protocole de consensus PlasmaBFT, développé en interne. Basé sur une adaptation de Fast HotStuff, il se distingue par sa capacité à traiter entièrement en parallèle — les étapes de proposition, de vote et de confirmation ne nécessitent pas de file d’attente, elles s’exécutent en multithreading simultanément.
Les performances annoncées sont encourageantes : un débit théorique pouvant atteindre plusieurs milliers de transactions par seconde, avec une confirmation finale en environ deux secondes. Et ce n’est pas juste un chiffre sur une présentation ; le code est écrit en Rust, une implémentation prête pour la production, pas une simple preuve de concept.
Le plan à terme est d’ouvrir progressivement la participation des nœuds externes au consensus, pour renforcer la décentralisation du réseau. En somme, cette blockchain cherche à reconstruire l’infrastructure sous-jacente des stablecoins — pour que USDT et autres puissent réellement fonctionner efficacement et être utilisables au quotidien.
Bien sûr, la réussite d’une nouvelle blockchain ne dépend pas uniquement de la technique ; l’écosystème, la conformité réglementaire et l’adoption par les utilisateurs sont tout aussi cruciaux. Mais l’orientation est claire : le marché du paiement a besoin de solutions plus performantes.