11 novembre, le Sénat américain a finalement adopté un accord de financement continu, mettant fin à la fermeture du gouvernement de 40 jours sans précédent — on prévoit que les agences fédérales pourront reprendre leurs activités dans la semaine. Après l’annonce, le BTC a bondi de près de 5 %, retrouvant la barre des 106 000 dollars, entraînant également une reprise collective des altcoins.

Cette fermeture a pris fin 10 jours plus tôt que prévu par Wall Street, mais ces 40 jours ont déjà suffi à secouer les marchés mondiaux. L’or est passé de 4380 dollars à 3800, les trois principaux indices boursiers américains ont connu des montagnes russes, et les cryptomonnaies, notamment les altcoins, ont été les plus touchés — leur prix a été directement brisé au plancher. Plusieurs influenceurs prétendant être des "traders légendaires" ont été complètement remis à leur place par cette chute.

Entre maintenant et la fin de l’année, cette période pourrait être la dernière opportunité pour faire monter les marchés boursiers américains et les actifs cryptographiques. La logique est simple : après la fin de la fermeture, les fonds du Trésor recommenceront à affluer sur le marché ; avec les attentes de baisse des taux et le ralentissement de la réduction du bilan, la liquidité devrait s’améliorer fortement, d’autant plus que la décision de baisse des taux en décembre n’a pas encore été prise.

Selon une estimation prudente (probabilité de 60-70 %), les dix à vingt prochains jours pourraient être la période dorée pour le marché crypto. Mais attention, je parle de "logique" — si les acteurs majeurs décident délibérément de ne pas faire monter le marché durant cette période, et qu’ils préparent une correction baissière, ce n’est pas impossible.

Donc, je ne recommande vraiment pas aux débutants de se lancer maintenant. Aujourd’hui, un ami m’a demandé si je conseillais d’investir régulièrement dans le BTC. Je lui ai répondu franchement : seul un idiot achèterait au sommet, il faut attendre le marché baissier. Il m’a alors sorti tout un discours, disant que je n’avais pas écrit qu’il y aurait encore une hausse il y a quelques jours. En voyant toutes ces questions insistantes, je n’ai qu’une envie : dire — entre la cupidité et la cupidité, il n’y a rien d’autre. Si ce n’était pas un contact connu qui m’avait recommandé, je l’aurais déjà bloqué pour éviter les ennuis.