Honnêtement ? Je ne me voyais pas dire cela il y a un an. Mais voilà où nous en sommes.

Le débat sur la conscience artificielle ? Il ne sera pas résolu par des articles de philosophie ou des arguments sur Twitter. Nous avons besoin d’expériences concrètes et vérifiables. Le genre d’expériences que l’on peut réellement réfuter si elles sont fausses.

Et voici le point crucial : le cadre que nous construisons doit fonctionner dans tous les cas. Peu importe si nous parlons de cerveaux à base de carbone ou de puces en silicium. Neurones biologiques ou modèles d’apprentissage automatique. Même règles, mêmes tests.

Car si votre théorie ne fonctionne que pour un seul type de substrat, vous n’expliquez pas vraiment la conscience. Vous ne faites que décrire une implémentation spécifique de celle-ci.