Tout le monde parle de Web3, mais la plupart des gens ne comprennent toujours pas ce que cela fait réellement. Laissez-moi vous expliquer : Web3 est essentiellement l’internet qui riposte contre les Big Tech. Au lieu que Google, Meta et Amazon possèdent vos données, la blockchain redonne le contrôle à vous.
Considérez Web3 comme l’antithèse de ce dans quoi vous vivez actuellement. Vous perdez constamment des données vers des entreprises qui les vendent au plus offrant. Web3 inverse la tendance — vous possédez vos données, vous contrôlez qui peut les voir, et personne n’a besoin de l’autorisation d’un intermédiaire pour effectuer des transactions. C’est ça, le pitch, en tout cas.
Voici le truc : la technologie ne fonctionne que si l’infrastructure est solide. Ces 5 coins ne sont pas de simples jetons aléatoires — ils sont la colonne vertébrale de tout cet écosystème.
La couche infrastructure
Polkadot (DOT) est essentiellement le traducteur du monde blockchain. Il permet à différentes chaînes de communiquer entre elles sans effort. Dans un futur Web3 où des centaines de blockchains coexistent, ce type de communication inter-chaînes est essentiel. DOT mène la charge parce qu’il résout un vrai problème — la fragmentation.
Chainlink (LINK) fait quelque chose de moins sexy mais probablement plus crucial : il connecte les contrats intelligents aux données du monde réel. Les contrats intelligents sont stupides sans informations extérieures. Chainlink les rend moins stupides en leur fournissant des données vérifiées provenant d’Internet. Sans cette couche, la DeFi et la plupart des applications Web3 ne fonctionnent tout simplement pas.
The Graph (GRT) est le moteur de recherche dont personne ne parle. Les développeurs ont besoin d’interroger rapidement les données blockchain. The Graph indexe tout ça, le rendant facilement consultable. C’est comme si vous deviez parcourir manuellement tout Internet chaque fois que vous cherchez quelque chose — contre simplement taper dans Google. GRT, c’est la deuxième option.
La couche application
Filecoin (FIL) s’attaque au stockage en nuage. Nous générons 2,5 quintillions d’octets de données par jour. Les stocker tous sur AWS est coûteux et centralisé. Filecoin permet à quiconque ayant de l’espace disque de le louer sur un réseau peer-to-peer. C’est Airbnb pour le stockage.
Audius (AUDIO) est là où Web3 devient intéressant pour le grand public. C’est un Spotify décentralisé où les artistes sont payés directement par les auditeurs, sans la taxe (30%) de Spotify. Les musiciens possèdent réellement leur relation avec leurs fans. Que ça gagne ou perde, le concept est ce sur quoi les évangélistes de Web3 parient.
La vraie question
Web3 ne fonctionne que si les développeurs continuent à construire dessus et si les utilisateurs l’adoptent réellement. Ces coins ne sont pas des « moon shots » — ce sont des paris sur la survie de l’infrastructure jusqu’à devenir aussi banale et omniprésente que HTTPS ou TCP/IP. Les années à venir diront si c’est vraiment une révolution ou juste des bases de données très coûteuses.
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Web3 n'est pas qu'une hype — voici pourquoi ces 5 monnaies comptent vraiment 🔗
Tout le monde parle de Web3, mais la plupart des gens ne comprennent toujours pas ce que cela fait réellement. Laissez-moi vous expliquer : Web3 est essentiellement l’internet qui riposte contre les Big Tech. Au lieu que Google, Meta et Amazon possèdent vos données, la blockchain redonne le contrôle à vous.
Considérez Web3 comme l’antithèse de ce dans quoi vous vivez actuellement. Vous perdez constamment des données vers des entreprises qui les vendent au plus offrant. Web3 inverse la tendance — vous possédez vos données, vous contrôlez qui peut les voir, et personne n’a besoin de l’autorisation d’un intermédiaire pour effectuer des transactions. C’est ça, le pitch, en tout cas.
Voici le truc : la technologie ne fonctionne que si l’infrastructure est solide. Ces 5 coins ne sont pas de simples jetons aléatoires — ils sont la colonne vertébrale de tout cet écosystème.
La couche infrastructure
Polkadot (DOT) est essentiellement le traducteur du monde blockchain. Il permet à différentes chaînes de communiquer entre elles sans effort. Dans un futur Web3 où des centaines de blockchains coexistent, ce type de communication inter-chaînes est essentiel. DOT mène la charge parce qu’il résout un vrai problème — la fragmentation.
Chainlink (LINK) fait quelque chose de moins sexy mais probablement plus crucial : il connecte les contrats intelligents aux données du monde réel. Les contrats intelligents sont stupides sans informations extérieures. Chainlink les rend moins stupides en leur fournissant des données vérifiées provenant d’Internet. Sans cette couche, la DeFi et la plupart des applications Web3 ne fonctionnent tout simplement pas.
The Graph (GRT) est le moteur de recherche dont personne ne parle. Les développeurs ont besoin d’interroger rapidement les données blockchain. The Graph indexe tout ça, le rendant facilement consultable. C’est comme si vous deviez parcourir manuellement tout Internet chaque fois que vous cherchez quelque chose — contre simplement taper dans Google. GRT, c’est la deuxième option.
La couche application
Filecoin (FIL) s’attaque au stockage en nuage. Nous générons 2,5 quintillions d’octets de données par jour. Les stocker tous sur AWS est coûteux et centralisé. Filecoin permet à quiconque ayant de l’espace disque de le louer sur un réseau peer-to-peer. C’est Airbnb pour le stockage.
Audius (AUDIO) est là où Web3 devient intéressant pour le grand public. C’est un Spotify décentralisé où les artistes sont payés directement par les auditeurs, sans la taxe (30%) de Spotify. Les musiciens possèdent réellement leur relation avec leurs fans. Que ça gagne ou perde, le concept est ce sur quoi les évangélistes de Web3 parient.
La vraie question
Web3 ne fonctionne que si les développeurs continuent à construire dessus et si les utilisateurs l’adoptent réellement. Ces coins ne sont pas des « moon shots » — ce sont des paris sur la survie de l’infrastructure jusqu’à devenir aussi banale et omniprésente que HTTPS ou TCP/IP. Les années à venir diront si c’est vraiment une révolution ou juste des bases de données très coûteuses.