Le site d'information BJK a rapporté que l'ancien président américain Donald Trump a signé jeudi un décret interdisant aux agences fédérales de bloquer les banques fournissant des services à l'industrie du chiffrement au motif de "risque de réputation". La Maison Blanche a déclaré que les pratiques injustes du passé avaient érodé la confiance du public dans le système financier et avaient causé des dommages économiques aux citoyens respectueux des lois. Cette initiative est considérée comme une étape importante pour mettre fin à l'opération "Chokepoint 2.0", qui avait conduit à la fermeture collective des comptes bancaires des entreprises de chiffrement. La Réserve fédérale et d'autres organismes de réglementation se sont engagés à cesser d'utiliser le "risque de réputation" comme critère d'évaluation des relations clients. Plusieurs membres républicains du Congrès ont exprimé leur soutien à cette initiative, affirmant qu'elle contribuerait à lutter contre la discrimination financière et à rétablir la transparence réglementaire.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Le site d'information BJK a rapporté que l'ancien président américain Donald Trump a signé jeudi un décret interdisant aux agences fédérales de bloquer les banques fournissant des services à l'industrie du chiffrement au motif de "risque de réputation". La Maison Blanche a déclaré que les pratiques injustes du passé avaient érodé la confiance du public dans le système financier et avaient causé des dommages économiques aux citoyens respectueux des lois. Cette initiative est considérée comme une étape importante pour mettre fin à l'opération "Chokepoint 2.0", qui avait conduit à la fermeture collective des comptes bancaires des entreprises de chiffrement. La Réserve fédérale et d'autres organismes de réglementation se sont engagés à cesser d'utiliser le "risque de réputation" comme critère d'évaluation des relations clients. Plusieurs membres républicains du Congrès ont exprimé leur soutien à cette initiative, affirmant qu'elle contribuerait à lutter contre la discrimination financière et à rétablir la transparence réglementaire.